L’amour vrai, c’est le plaisir que nous donne le plaisir de l’autre, la joie qui naît en moi au spectacle de sa joie, le bonheur que j’éprouve à le savoir heureux. Plaisir du plaisir, joie de la joie, bonheur du bonheur, c’est cela l’amour, rien de plus.

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L’amour vrai, c’est le plaisir que nous donne le plaisir de l’autre, la joie qui naît en moi au spectacle de sa joie, le bonheur que j’éprouve à le savoir heureux. Plaisir du plaisir, joie de la joie, bonheur du bonheur, c’est cela l’amour, rien de plus. Michel Tournier Le Dico des citations Les nouvelles … Lire la suite­­

Il importe de se démontrer à soi-même qu’on est destiné à l’indépendance et au commandement, et il faut le faire à temps. Il faut savoir se garder, c’est la plus forte preuve d’indépendance.

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Il importe de se démontrer à soi-même qu’on est destiné à l’indépendance et au commandement, et il faut le faire à temps. Il faut savoir se garder, c’est la plus forte preuve d’indépendance. Friedrich Nietzsche Le Dico des citations Les nouvelles citations

Un philosophe, hélas ! c’est un être qui souvent se fausse compagnie à lui-même, qui a souvent peur de soi, mais qui est trop curieux pour ne pas, chaque fois, revenir à lui-même.

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Un philosophe, hélas ! c’est un être qui souvent se fausse compagnie à lui-même, qui a souvent peur de soi, mais qui est trop curieux pour ne pas, chaque fois, revenir à lui-même. Friedrich Nietzsche Le Dico des citations Les nouvelles citations

Un philosophe est un homme qui ne cesse pas de vivre, de voir, d’entendre, de soupçonner, d’espérer, de rêver des choses extraordinaires ; à qui ses propres pensées semblent venir du dehors, d’en haut ou d’en bas, comme des événements ou des coups de foudre à lui destinés. Peut-être est-il lui-même un orage gonflé de nouvelles foudres, un homme fatal toujours environné de grondements, de roulements de tonnerre, d’abîmes béants et de sinistres présages.

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Un philosophe est un homme qui ne cesse pas de vivre, de voir, d’entendre, de soupçonner, d’espérer, de rêver des choses extraordinaires ; à qui ses propres pensées semblent venir du dehors, d’en haut ou d’en bas, comme des événements ou des coups de foudre à lui destinés. Peut-être est-il lui-même un orage gonflé de … Lire la suite­­