L’amour d’une mère ne vieillit pas. Proverbe malgache Le Dico des citations Les nouvelles citations
Archives mensuelles : mai 2013
Qui bien aime, tard oublie.
Qui bien aime, tard oublie. Proverbes Français
Louise Victorine Ackermann : Contes et poésies (Ackermann)
On dit qu’Adam sur la pelouse en fleurTrouva la femme au sortir d’un long somme;Mais sur un point ce récit fait erreur:Pour la créer ce que Dieu prit à l’hommeCe n’était point sa côte, mais son coeur. Louise Victorine Ackermann : Contes et poésies (Ackermann)
C’est quoi le truc ?
Un homme arrive au commissariat et demande à parler au cambrioleur arrêté qui s’est introduit chez lui la semaine précédente. – C’est impossible, dit le policier, il est en garde à vue. – Mais j’ai juste une petite chose à lui demander. – N’insistez pas monsieur, c’est strictement interdit. – Dommage, je voulais juste savoir … Lire la suite
Citation du 26 mai 2013
Si l’on s’aperçoit que l’adversaire est supérieur et que l’on ne va pas gagner, il faut tenir des propos désobligeants, blessants et grossiers. Être désobligeant, cela consiste à quitter l’objet de la querelle (puisqu’on a perdu la partie) pour passer à l’adversaire, et à l’attaquer d’une manière ou d’une autre dans ce qu’il est : on … Lire la suite
Le dicton du 26-05-2013
[Saint Philippe Néri] Quand il pleut à la Saint-Philippe, Le pauvre n’a pas besoin du riche. Le Dico des citations les dictons classés par mois la citation du jour le dicton du jour
La durée d’un film devrait être directement liée à la capacité de la vessie humaine.
La durée d’un film devrait être directement liée à la capacité de la vessie humaine. Alfred Hitchcock Le Dico des citations Les nouvelles citations
À droite, sur toute la longueur du passage, s’étend une muraille contre laquelle les boutiquiers d’en face ont plaqué d’étroites armoires ; des objets sans nom, des marchandises oubliées là depuis vingt ans s’y étalent le long de minces planches peintes d’une horrible couleur brune. Une marchande de bijoux faux s’est établie dans une des armoires ; elle y vend des bagues de quinze sous, délicatement posées sur un lit de velours bleu, au fond d’une boîte en acajou.
À droite, sur toute la longueur du passage, s’étend une muraille contre laquelle les boutiquiers d’en face ont plaqué d’étroites armoires ; des objets sans nom, des marchandises oubliées là depuis vingt ans s’y étalent le long de minces planches peintes d’une horrible couleur brune. Une marchande de bijoux faux s’est établie dans une des … Lire la suite
À gauche, se creusent des boutiques obscures, basses, écrasées, laissant échapper des souffles froids de caveau. Il y a là des bouquinistes, des marchands de jouets d’enfant, des cartonniers, dont les étalages gris de poussière dorment vaguement dans l’ombre ; les vitrines, faites de petits carreaux, moirent étrangement les marchandises de reflets verdâtres ; au-delà, derrière les étalages, les boutiques pleines de ténèbres sont autant de trous lugubres dans lesquels s’agitent des formes bizarres.
À gauche, se creusent des boutiques obscures, basses, écrasées, laissant échapper des souffles froids de caveau. Il y a là des bouquinistes, des marchands de jouets d’enfant, des cartonniers, dont les étalages gris de poussière dorment vaguement dans l’ombre ; les vitrines, faites de petits carreaux, moirent étrangement les marchandises de reflets verdâtres ; au-delà, … Lire la suite
Par les beaux jours d’été, quand un lourd soleil brûle les rues, une clarté blanchâtre tombe des vitres sales et traîne misérablement dans le passage. Par les vilains jours d’hiver, par les matinées de brouillard, les vitres ne jettent que de la nuit sur les dalles gluantes, de la nuit salie et ignoble.
Par les beaux jours d’été, quand un lourd soleil brûle les rues, une clarté blanchâtre tombe des vitres sales et traîne misérablement dans le passage. Par les vilains jours d’hiver, par les matinées de brouillard, les vitres ne jettent que de la nuit sur les dalles gluantes, de la nuit salie et ignoble. Emile Zola … Lire la suite