Chaque fois qu’on fréquente un homme, il y a deux forces qui s’affrontent dans notre tête. L’ego et l’amour. Tu peux écouter l’un ou l’autre, mais pas les deux en même temps.

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Chaque fois qu’on fréquente un homme, il y a deux forces qui s’affrontent dans notre tête. L’ego et l’amour. Tu peux écouter l’un ou l’autre, mais pas les deux en même temps. Chaque fois qu’on fréquente un homme, il y a deux forces qui s’affrontent dans notre tête. L’ego et l’amour. Tu peux écouter l’un … Lire la suite­­

Prenons un instant pour prendre conscience qu’il n’y a que trois façons de modifier la trajectoire de notre vie, pour le meilleur ou pour le pire : la crise, la chance et le choix.

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Prenons un instant pour prendre conscience qu’il n’y a que trois façons de modifier la trajectoire de notre vie, pour le meilleur ou pour le pire : la crise, la chance et le choix. Prenons un instant pour prendre conscience qu’il n’y a que trois façons de modifier la trajectoire de notre vie, pour le … Lire la suite­­

Un malade imaginaire : Un malade qui ne voulait pas recevoir les sacrements disait à son ami : Je vais faire semblant de ne pas mourir.

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Un malade imaginaire : Un malade qui ne voulait pas recevoir les sacrements disait à son ami : Je vais faire semblant de ne pas mourir. Un malade imaginaire : Un malade qui ne voulait pas recevoir les sacrements disait à son ami : Je vais faire semblant de ne pas mourir. Sébastien Roch Nicolas … Lire la suite­­

Ce ne sont plus des amis, ce sont –que dis-je ? Des fantômes d’amis ! Quelquefois dans la nuit ils heurtent à mon cœur. Ils me regardent et me disent : C’était pourtant nous ? – Ô paroles fanées, vous aviez des odeurs de roses.

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Ce ne sont plus des amis, ce sont –que dis-je ? Des fantômes d’amis ! Quelquefois dans la nuit ils heurtent à mon cœur. Ils me regardent et me disent : C’était pourtant nous ? – Ô paroles fanées, vous aviez des odeurs de roses. Ce ne sont plus des amis, ce sont –que dis-je … Lire la suite­­

André Lemoyne : Les roses d’antan

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Le poète et l’hirondelle: Voici venir l’automne, hirondelle frileuse.Bientôt s’effeuilleront mes rosiers défleuris.Un ciel brumeux et noir s’étendra sur Paris,Et tu me quitteras, petite voyageuse.Hirondelle, où vas-tu quand tu me dis adieu? Je passe tous les ans la Méditerranée.J’habite, sur un fleuve, une île fortunéeOù la pervenche est rose et le nymphaea bleu. Ah! Quand … Lire la suite­­