Le malaise de n’être que rarement à l’unisson, de te sentir coupé des autres, de t’éprouver différent. D’où une mélancolie profonde. Qui plaque son voile de morne désolation sur tout ce qui t’environne, tout ce qui t’advient.

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Le malaise de n’être que rarement à l’unisson, de te sentir coupé des autres, de t’éprouver différent. D’où une mélancolie profonde. Qui plaque son voile de morne désolation sur tout ce qui t’environne, tout ce qui t’advient. Le malaise de n’être que rarement à l’unisson, de te sentir coupé des autres, de t’éprouver différent. D’où … Lire la suite­­

Obélix : Il est formidable, mon Idéfix, hein ? … Je lui ai appris à flairer les menhirs pour qu’il devienne un bon chien de chasse J’ai commencé par des menhirs parce que ça va moins vite que les lapins, par exemple.

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Obélix : Il est formidable, mon Idéfix, hein ? … Je lui ai appris à flairer les menhirs pour qu’il devienne un bon chien de chasse J’ai commencé par des menhirs parce que ça va moins vite que les lapins, par exemple. Obélix : Il est formidable, mon Idéfix, hein ? … Je lui ai … Lire la suite­­

Hegel a beaucoup insisté sur le regard d’autrui.Il voit dans la rencontre de l’autre,un moyen de s’élever,de grandir,de devenir pleinement humain…

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Hegel a beaucoup insisté sur le regard d’autrui.Il voit dans la rencontre de l’autre,un moyen de s’élever,de grandir,de devenir pleinement humain… Hegel a beaucoup insisté sur le regard d’autrui.Il voit dans la rencontre de l’autre,un moyen de s’élever,de grandir,de devenir pleinement humain… Alexandre Jollien Le Dico des citations Les nouvelles citations

Bah c’est bath ça, dis donc. .. C’est la vie. .. P’tit commerce, p’tit fonds, p’tit bénéfice, p’tit déjeuner. .. sur la p’tite table de la p’tite cuisine. .. Vous avez eu du pot d’vous rencontrer vous alors, hein. .. Chers petits, va !.

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Bah c’est bath ça, dis donc. .. C’est la vie. .. P’tit commerce, p’tit fonds, p’tit bénéfice, p’tit déjeuner. .. sur la p’tite table de la p’tite cuisine. .. Vous avez eu du pot d’vous rencontrer vous alors, hein. .. Chers petits, va !. Bah c’est bath ça, dis donc. .. C’est la vie. .. … Lire la suite­­

Sa barbe était d’argent comme un ruisseau d’avril. Sa gerbe n’était point avare ni haineuse ; Quand il voyait passer quelque pauvre glaneuse : – Laissez tomber exprès des épis, disait-il. Cet homme marchait pur loin des sentiers obliques, Vêtu de probité candide et de lin blanc ; Et, toujours du côté des pauvres ruisselant, Ses sacs de grains semblaient des fontaines publiques.

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Sa barbe était d’argent comme un ruisseau d’avril. Sa gerbe n’était point avare ni haineuse ; Quand il voyait passer quelque pauvre glaneuse : – Laissez tomber exprès des épis, disait-il. Cet homme marchait pur loin des sentiers obliques, Vêtu de probité candide et de lin blanc ; Et, toujours du côté des pauvres ruisselant, … Lire la suite­­

Le nombre fini de mes négatifs est justement équilibré par la possibilité que j’ai de tirer de chacun d’eux un nombre infini d’images positives. L’infini empirique ramené d’abord au fini de ma collection redevient un infini possible, mais cette fois il ne se déploie qu’à travers moi seul. Par la photographie, l’infini sauvage devient un infini domestique.

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Le nombre fini de mes négatifs est justement équilibré par la possibilité que j’ai de tirer de chacun d’eux un nombre infini d’images positives. L’infini empirique ramené d’abord au fini de ma collection redevient un infini possible, mais cette fois il ne se déploie qu’à travers moi seul. Par la photographie, l’infini sauvage devient un … Lire la suite­­

En passant devant une vitrine, j’aperçois un visage dénué d’expression, éteint, mort. Après quelques pas, je réalise que c’est le mien. Et pourtant, c’est celui d’un autre, et je me retourne pour voir si je ne suis pas derrière moi.

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En passant devant une vitrine, j’aperçois un visage dénué d’expression, éteint, mort. Après quelques pas, je réalise que c’est le mien. Et pourtant, c’est celui d’un autre, et je me retourne pour voir si je ne suis pas derrière moi. En passant devant une vitrine, j’aperçois un visage dénué d’expression, éteint, mort. Après quelques pas, … Lire la suite­­

Prolonger le doute, c’est faire durer l’espoir, et j’avais besoin de cet espoir même si Mr Rochester était à l’étranger.

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Prolonger le doute, c’est faire durer l’espoir, et j’avais besoin de cet espoir même si Mr Rochester était à l’étranger. Prolonger le doute, c’est faire durer l’espoir, et j’avais besoin de cet espoir même si Mr Rochester était à l’étranger. Charlotte Brontë Le Dico des citations Les nouvelles citations

Dès le jour, les rues sont pleines, les trottoirs roulent des foules comme des torrents grossis. Tout cela descend vers l’Exposition, ou en revient, ou y retourne. Sur les chaussées, les voitures se tiennent comme les wagons d’un train sans fin. Pas une n’est libre, pas un cocher ne consent à vous conduire ailleurs qu’à l’Exposition, ou à sa remise quand il va relayer.

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Dès le jour, les rues sont pleines, les trottoirs roulent des foules comme des torrents grossis. Tout cela descend vers l’Exposition, ou en revient, ou y retourne. Sur les chaussées, les voitures se tiennent comme les wagons d’un train sans fin. Pas une n’est libre, pas un cocher ne consent à vous conduire ailleurs qu’à … Lire la suite­­