Martin Baltscheit Le lion ne savait pas écrire. Mais ça lui bien était, car il savait rugir et montrer les crocs. Et pour le lion s’était bien suffisant.
Archives mensuelles : octobre 2017
Le lion ne savait pas écrire. Mais ça lui bien était, car il savait rugir et montrer les crocs. Et pour le lion s’était bien suffisant.
Le lion ne savait pas écrire. Mais ça lui bien était, car il savait rugir et montrer les crocs. Et pour le lion s’était bien suffisant. Le lion ne savait pas écrire. Mais ça lui bien était, car il savait rugir et montrer les crocs. Et pour le lion s’était bien suffisant. Martin Baltscheit Le … Lire la suite
Les plus belles années d’une vie sont celles qu’on ne connaît pas, qui arrivent, qu’on va vivre, pendant lesquelles on subira des métamorphoses dont on n’a pas idée, jusqu’à la grande métamorphose finale, aussi intéressante et désirable que les autres.
Les plus belles années d’une vie sont celles qu’on ne connaît pas, qui arrivent, qu’on va vivre, pendant lesquelles on subira des métamorphoses dont on n’a pas idée, jusqu’à la grande métamorphose finale, aussi intéressante et désirable que les autres. Les plus belles années d’une vie sont celles qu’on ne connaît pas, qui arrivent, qu’on … Lire la suite
Si la philosophie populaire n’existe pas, c’est qu’il existe tout aussi peu une voie de masse qu’une voie royale pour résoudre les problèmes philosophiques, et que philosopher signifie essentiellement exposer quelque chose en respectant sa complexité.
Si la philosophie populaire n’existe pas, c’est qu’il existe tout aussi peu une voie de masse qu’une voie royale pour résoudre les problèmes philosophiques, et que philosopher signifie essentiellement exposer quelque chose en respectant sa complexité. Si la philosophie populaire n’existe pas, c’est qu’il existe tout aussi peu une voie de masse qu’une voie royale … Lire la suite
Quand on ne se sent plus en sécurité nulle part, on devient un simple gibier. Une proie, qui fuit et se retourne sans cesse, ne trouvant plus le repos
Quand on ne se sent plus en sécurité nulle part, on devient un simple gibier. Une proie, qui fuit et se retourne sans cesse, ne trouvant plus le repos Quand on ne se sent plus en sécurité nulle part, on devient un simple gibier. Une proie, qui fuit et se retourne sans cesse, ne trouvant … Lire la suite
Il l’aimait encore, bien sûr, mais il aimait davantage cette route, de nuit, qui ne le menait nulle part, cette vie, devant lui, qui pouvait encore prendre mille formes.
Il l’aimait encore, bien sûr, mais il aimait davantage cette route, de nuit, qui ne le menait nulle part, cette vie, devant lui, qui pouvait encore prendre mille formes. Il l’aimait encore, bien sûr, mais il aimait davantage cette route, de nuit, qui ne le menait nulle part, cette vie, devant lui, qui pouvait encore … Lire la suite
Toutes ces choses n’existaient pas puisqu’on n’avait pas le droit d’employer les mots qui les désignaient
Toutes ces choses n’existaient pas puisqu’on n’avait pas le droit d’employer les mots qui les désignaient Toutes ces choses n’existaient pas puisqu’on n’avait pas le droit d’employer les mots qui les désignaient Marie Cardinal Le Dico des citations Les nouvelles citations
La théorie de l’information oppose au mouvement perpétuel le cristal immobile de la disparition du temps.
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Maintenant il me faut Fès. Connaître Fès. Je ne serai pas vraiment ton fils si mes yeux ne voient pas ce que tu as vu en premier.
Maintenant il me faut Fès. Connaître Fès. Je ne serai pas vraiment ton fils si mes yeux ne voient pas ce que tu as vu en premier. Maintenant il me faut Fès. Connaître Fès. Je ne serai pas vraiment ton fils si mes yeux ne voient pas ce que tu as vu en premier. Eric … Lire la suite
Moi c’est le contraire, rien ne me semble plus faux-cul qu’une belle photo de bonheur avec toute la quantité de malheur qu’elle promet, qu’elle contient, mais sans le dire, en cachant bien son jeu.
Moi c’est le contraire, rien ne me semble plus faux-cul qu’une belle photo de bonheur avec toute la quantité de malheur qu’elle promet, qu’elle contient, mais sans le dire, en cachant bien son jeu. Moi c’est le contraire, rien ne me semble plus faux-cul qu’une belle photo de bonheur avec toute la quantité de malheur … Lire la suite