Dieu est une promesse qui concerne les morts mais qui n’engage que les vivants. Donc on peut promettre Dieu à tout va, de toute façon ça ne coûte rien ! Moi je voulais de la certitude.

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Dieu est une promesse qui concerne les morts mais qui n’engage que les vivants. Donc on peut promettre Dieu à tout va, de toute façon ça ne coûte rien ! Moi je voulais de la certitude. Dieu est une promesse qui concerne les morts mais qui n’engage que les vivants. Donc on peut promettre Dieu … Lire la suite­­

Ce ne sont pas toujours les fautes qui nous perdent, c’est la manière de se conduire après les avoir faites.

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Ce ne sont pas toujours les fautes qui nous perdent, c’est la manière de se conduire après les avoir faites. Ce ne sont pas toujours les fautes qui nous perdent, c’est la manière de se conduire après les avoir faites. Anne-Thérèse de Marguenat de Courcelles Le Dico des citations Les nouvelles citations

L’homme heureux ne tolère pas la peine des autres, il l’annule et il lui semble que sa joie se projette sur l’univers.

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L’homme heureux ne tolère pas la peine des autres, il l’annule et il lui semble que sa joie se projette sur l’univers. L’homme heureux ne tolère pas la peine des autres, il l’annule et il lui semble que sa joie se projette sur l’univers. Léon Werth Le Dico des citations Les nouvelles citations

Un malade débute dans la maladie comme un enfant fait ses premiers pas. Il n’est pas ridicule. Il est comique. Il peut être attendrissant. Mais n’ayez pas la larme à l’œil, chaque fois que vous voyez un malade, ne pleurez pas automatiquement. Si de sa maladie, le malade ne tire aucune joie, c’est qu’il n’en tirerait aucune de la vie, c’est qu’il est indigne de la santé.

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Un malade débute dans la maladie comme un enfant fait ses premiers pas. Il n’est pas ridicule. Il est comique. Il peut être attendrissant. Mais n’ayez pas la larme à l’œil, chaque fois que vous voyez un malade, ne pleurez pas automatiquement. Si de sa maladie, le malade ne tire aucune joie, c’est qu’il n’en … Lire la suite­­

Je suis lâche, comme tous les hommes, devant un déménagement. Je m’en désintéresse. Je n’ai qu’un souci : c’est d’emporter Terre des Hommes. Non pas parce que cet exemplaire est de luxe, de haut luxe (. .. ) Mais parce que Saint-Exupéry me l’a donné, (. .. ) parce que Saint-Exupéry y a écrit, de son aérienne écriture, quelques mots où mon amitié comme à une source se désaltère (. .. ).

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Je suis lâche, comme tous les hommes, devant un déménagement. Je m’en désintéresse. Je n’ai qu’un souci : c’est d’emporter Terre des Hommes. Non pas parce que cet exemplaire est de luxe, de haut luxe (. .. ) Mais parce que Saint-Exupéry me l’a donné, (. .. ) parce que Saint-Exupéry y a écrit, de … Lire la suite­­

J’ai lu, quand j’étais enfant, de beaux récits sur l’hospitalité. L’hôte est sacré pour le patriarche biblique, pour le Grec de L’Iliade et pour le Bédoin dans sa tente. Abel, Monsieur Abel, comme souvent on vous appelle à Chapelon, je n’ai, grâce à vous, rien à regretter de l’antiquité. .. L’hospitalité existe dans les temps modernes, et elle y est plus belle encore. Car elle n’est pas un rite, mais un don.

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J’ai lu, quand j’étais enfant, de beaux récits sur l’hospitalité. L’hôte est sacré pour le patriarche biblique, pour le Grec de L’Iliade et pour le Bédoin dans sa tente. Abel, Monsieur Abel, comme souvent on vous appelle à Chapelon, je n’ai, grâce à vous, rien à regretter de l’antiquité. .. L’hospitalité existe dans les temps … Lire la suite­­

La France n’est point une déesse abstraite. La France n’est point un manuel d’Histoire. La France n’est point une idéologie. La France est une chair dont je dépends, un réseau de liens qui me régit, un ensemble de pôles qui fondent les pentes de mon cœur. C’est pourquoi j’ai besoin que durent plus que moi ceux dont je suis. J’ai besoin qu’ils soient, pour être orienté. Sinon, comment saurais-je vers où et vers quoi revenir ?.

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La France n’est point une déesse abstraite. La France n’est point un manuel d’Histoire. La France n’est point une idéologie. La France est une chair dont je dépends, un réseau de liens qui me régit, un ensemble de pôles qui fondent les pentes de mon cœur. C’est pourquoi j’ai besoin que durent plus que moi … Lire la suite­­

Il y aura toujours des guerres, disent ceux qui pensent par proverbes. Mais quelle stupidité de penser que la Guerre sera toujours la dernière ressource de l’histoire ou des hommes.

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Il y aura toujours des guerres, disent ceux qui pensent par proverbes. Mais quelle stupidité de penser que la Guerre sera toujours la dernière ressource de l’histoire ou des hommes. Il y aura toujours des guerres, disent ceux qui pensent par proverbes. Mais quelle stupidité de penser que la Guerre sera toujours la dernière ressource … Lire la suite­­

Ce que nous nommons l’histoire ne serait-il pas la plus vaine illusion des hommes ? Ce que nous concédons à l’histoire, aux guerres comme aux puissances du temps de paix, ne serait-ce pas le signe de notre insuffisance ? Nous faisons de l’histoire comme un malade fait une maladie. Nous sommes responsables de l’histoire comme les fous sont responsables de la création des asiles.

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Ce que nous nommons l’histoire ne serait-il pas la plus vaine illusion des hommes ? Ce que nous concédons à l’histoire, aux guerres comme aux puissances du temps de paix, ne serait-ce pas le signe de notre insuffisance ? Nous faisons de l’histoire comme un malade fait une maladie. Nous sommes responsables de l’histoire comme … Lire la suite­­