Ah ! je te connais, Amour ! aussi bien que qui que ce soit. Tu portes là ta torche et elle rayonne devant nous dans les ténèbres. Mais tu nous conduiras bientôt par des sentiers embrouillés ; c’est alors que nous aurions besoin de ta torche. Hélas ! la traîtresse s’éteint.
Ah ! je te connais, Amour ! aussi bien que qui que ce soit. Tu portes là ta torche et elle rayonne devant nous dans les ténèbres. Mais tu nous conduiras bientôt par des sentiers embrouillés ; c’est alors que nous aurions besoin de ta torche. Hélas ! la traîtresse s’éteint. Goethe