Assia Djebar
Certes derrière la soie de ce silence se tapit le soi, ou le moi, qui s’écrivant peu à peu s’arrime, en se coulant dans le sillon de l’écriture, aux replis de la mémoire et à son premier ébranlement-un soi-moi, plus anonyme, car déjà à demi effacé…