Fédor Mikhaïlovitch Dostoïevski
L’homme n’a pas de souci plus lancinant, plus douloureux que, resté libre, celui de se chercher, aussi vite que possible, quelqu’un devant qui se prosterner.
Fédor Mikhaïlovitch Dostoïevski
L’homme n’a pas de souci plus lancinant, plus douloureux que, resté libre, celui de se chercher, aussi vite que possible, quelqu’un devant qui se prosterner.