Lorsque l’âme et l’imagination ont agrandi le malheur, en ont fait un … – Honoré de Balzac

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Lorsque l’âme et l’imagination ont agrandi le malheur, en ont fait un fardeau trop lourd pour les épaules et pour le front, quand une espérance longtemps caressée, dont les réalisations apaiseraient le vautour ardent qui ronge le cœur, vient à manquer, et que l’homme n’a foi ni en lui, malgré ses forces, ni en l’avenir, malgré la puissance divine, alors il se brise.
Honoré de Balzac [ La comédie humaine ]

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