Louis Veuillot
Le plaisir d’écrire est perdu. Le plaisir d’écrire, c’était de vivre avec une pensée, de la mûrir, de la vêtir, de la faire forte et belle.
Louis Veuillot
Le plaisir d’écrire est perdu. Le plaisir d’écrire, c’était de vivre avec une pensée, de la mûrir, de la vêtir, de la faire forte et belle.