Aujourd’hui il fait jour Tu es près de moi mon amour. Écoutons-nous tant que nous entendons Aimons-nous tant que nous bougeons Regardons-nous tant que nous voyons Je t’aime, tu m’aimes Conjuguons l’amour à tous les temps.

Ajouter un commentaire

Aujourd’hui il fait jour Tu es près de moi mon amour. Écoutons-nous tant que nous entendons Aimons-nous tant que nous bougeons Regardons-nous tant que nous voyons Je t’aime, tu m’aimes Conjuguons l’amour à tous les temps. Chantal Ledoux Le Dico des citations Les nouvelles citations

Je n’ai pas passé un jour sans t’aimer ; je n’ai pas passé une nuit sans te serrer dans mes bras ; je n’ai pas pris une tasse de thé sans maudire la gloire et l’ambition qui me tiennent éloigné de l’âme de ma vie. Au milieu des affaires, à la tête des troupes, en parcourant les camps, mon adorable Joséphine est seule dans mon coeur, occupe mon esprit, absorbe ma pensée.

Ajouter un commentaire

Je n’ai pas passé un jour sans t’aimer ; je n’ai pas passé une nuit sans te serrer dans mes bras ; je n’ai pas pris une tasse de thé sans maudire la gloire et l’ambition qui me tiennent éloigné de l’âme de ma vie. Au milieu des affaires, à la tête des troupes, en … Lire la suite­­

Souvent j’ai eu le temps. C’était quand ma mère vivait. J’étais désagréable avec elle, ingrat, méchant, je me disais : j’aime ma mère. Elle le sait ou elle finira bien par le savoir. J’ai le temps. Elle et moi, l’un quant à l’autre, nous avons le temps. Le temps de quoi ? Moi, de lui prouver que je l’aime et que je mérite son amour. Elle, de reconnaître mon amour d’elle et de me le dire.

Ajouter un commentaire

Souvent j’ai eu le temps. C’était quand ma mère vivait. J’étais désagréable avec elle, ingrat, méchant, je me disais : j’aime ma mère. Elle le sait ou elle finira bien par le savoir. J’ai le temps. Elle et moi, l’un quant à l’autre, nous avons le temps. Le temps de quoi ? Moi, de lui … Lire la suite­­

Anne-Louise Germaine Necker (Madame de Stael) : Corinne ou l’Italie

Ajouter un commentaire

Voyager est, quoi qu’on en puisse dire, un des plus tristes plaisirs de la vie. Lorsque vous vous trouvez bien dans quelque ville étrangère, c’est que vous commencez à vous y faire une patrie; mais traverser des pays inconnus, entendre parler un langage que vous comprenez à peine, voir des visages humains sans relation avec … Lire la suite­­