Paul Henri Thiry d’Holbach
Une religion, dont les maximes tendent à rendre les hommes intolérants, les souverains persécuteurs, les sujets, ou esclaves, ou rebelles une religion, dont les dogmes obscurs sont des sujets éternels de disputes une religion, dont les principes découragent les hommes, et les détournent de songer à leurs vrais intérêts une telle religion, dis-je, est destructive pour toute société.