Un poète — ne soyez pas choqué de mon propos — n’a pas pour fonction de ressentir l’état poétique : ceci est une affaire privée.

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Un poète — ne soyez pas choqué de mon propos — n’a pas pour fonction de ressentir l’état poétique : ceci est une affaire privée. Un poète — ne soyez pas choqué de mon propos — n’a pas pour fonction de ressentir l’état poétique : ceci est une affaire privée. Paul Valéry Le Dico des … Lire la suite­­

En conclusion — et vous pouvez en croire la Folie — plus on est fou, plus on est heureux, pourvu que l’on s’en tienne au genre de démence qui relève de ma compétence.

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En conclusion — et vous pouvez en croire la Folie — plus on est fou, plus on est heureux, pourvu que l’on s’en tienne au genre de démence qui relève de ma compétence. En conclusion — et vous pouvez en croire la Folie — plus on est fou, plus on est heureux, pourvu que l’on … Lire la suite­­

L’objet de la connaissance, ce n’est pas le monde, mais la communauté ‘nous-monde’, parce que notre monde fait partie de notre vision du monder, laquelle fait partie de notre monde. Autrement dit, l’objet de la connaissance, c’est la phénoménologie, et non pas de la réalité ontologique. Cette phénoménologie est notre réalité d’êtres dans le monde. (…) Notre monde réel est celui d’un univers dont l’observateur ne pourra jamais éliminer le désordre et dont il ne pourra jamais s’éliminer lui-même.

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L’objet de la connaissance, ce n’est pas le monde, mais la communauté ‘nous-monde’, parce que notre monde fait partie de notre vision du monder, laquelle fait partie de notre monde. Autrement dit, l’objet de la connaissance, c’est la phénoménologie, et non pas de la réalité ontologique. Cette phénoménologie est notre réalité d’êtres dans le monde. … Lire la suite­­

Telle est la tâche d’une science naturelle : montrer que le merveilleux n’est pas incompréhensible, montrer comment il peut être compris – sans pour autant détruire l’émerveillement. Car lorsque nous avons expliqué le merveilleux, démasqué les structures cachées, un nouveau merveilleux surgit : la complexité était tissée de simplicité. L’esthétique d’une science naturelle ou des mathématiques est la même que celle de la musique ou de la peinture ; pour les unes comme pour les autres, elle est aspiration à la découverte d’une forme partiellement cachée…. Le monde dans lequel nous vivons aujourd’hui est beaucoup plus un monde artificiel, fait par l’homme, qu’un monde naturel. Presque tous les éléments de notre environnement montrent l’évidence de l’artifice humain.

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Telle est la tâche d’une science naturelle : montrer que le merveilleux n’est pas incompréhensible, montrer comment il peut être compris – sans pour autant détruire l’émerveillement. Car lorsque nous avons expliqué le merveilleux, démasqué les structures cachées, un nouveau merveilleux surgit : la complexité était tissée de simplicité. L’esthétique d’une science naturelle ou des … Lire la suite­­