33 ans. C’était l’âge que j’avais alors. Encore assez jeune. Mais plus un jeune homme… Cet âge constitue peut-être une sorte de croisement dans la vie. 33 ans. C’était l’âge que j’avais alors. Encore assez jeune. Mais plus un jeune homme… Cet âge constitue peut-être une sorte de croisement dans la vie. Haruki Murakami Le … Lire la suite
Archives mensuelles : février 2017
Najat Vallaud-Belkacem
Najat Vallaud-Belkacem Quand on n’a pas eu l’eau courante, pendant des années, on est un peu différent.
Kubrick
Kubrick Innover, c’est aller de l’avant sans abandonner le passé.
Stanley Kubrick
Stanley Kubrick Le quoi doit toujours précéder le comment .
Mieux vaut mourir près son ami, – Que vivre chez son ennemi.
Mieux vaut mourir près son ami, – Que vivre chez son ennemi. Mieux vaut mourir près son ami, – Que vivre chez son ennemi. Proverbes Français
Laisse les sots voir que les mots te blessent, et leurs quolibets ne te lâcheront pas. S’il leur plaît de te donner un sobriquet, prends-le, approprie-le-toi. Dès lors, ils seront désarmés.
Laisse les sots voir que les mots te blessent, et leurs quolibets ne te lâcheront pas. S’il leur plaît de te donner un sobriquet, prends-le, approprie-le-toi. Dès lors, ils seront désarmés. Laisse les sots voir que les mots te blessent, et leurs quolibets ne te lâcheront pas. S’il leur plaît de te donner un sobriquet, … Lire la suite
une hirondelle ne fait pas le printemps
une hirondelle ne fait pas le printemps une hirondelle ne fait pas le printemps Proverbes Français
Il faut savoir faire les sottises que nous demande notre caractère.
Il faut savoir faire les sottises que nous demande notre caractère. Il faut savoir faire les sottises que nous demande notre caractère. Sébastien-Roch Nicolas de Chamfort Le Dico des citations Les nouvelles citations
Quel regard ! Mort, l’œil du poisson mort, sans une lueur dans sa gélatineuse grise. Au fait, l’homme sentait la vase, la marée. Il me fallait absolument prendre une contenance dans ce péril. Or, je ne trouvais rien à dire, rendu aphone. Et l’homme se balançait sur place, comme si mon plancher eût été le pont d’un navire. Il attendait. Moi aussi. Il prit une chaise et s’installa en face de moi, continuant de se balancer assis. Comme saisi de vertige, je me balançai à son instar, mais dans le sens inverse. La pénible, ridicule situation !
Quel regard ! Mort, l’œil du poisson mort, sans une lueur dans sa gélatineuse grise. Au fait, l’homme sentait la vase, la marée. Il me fallait absolument prendre une contenance dans ce péril. Or, je ne trouvais rien à dire, rendu aphone. Et l’homme se balançait sur place, comme si mon plancher eût été le … Lire la suite
Ne vous excusez jamais d’être là où vous êtes arrivés. Ne vous excusez jamais de vouloir aller toujours plus loin et toujours plus haut. L’ambition est la richesse des pauvres. Et restez fidèles à ce que vous êtes.
Ne vous excusez jamais d’être là où vous êtes arrivés. Ne vous excusez jamais de vouloir aller toujours plus loin et toujours plus haut. L’ambition est la richesse des pauvres. Et restez fidèles à ce que vous êtes. Ne vous excusez jamais d’être là où vous êtes arrivés. Ne vous excusez jamais de vouloir aller … Lire la suite