Pedro Almodovar – Aujourd’hui, on n’ose plus se confier ni à sa famille, ni à ses amis, ni à son compagnon, on préfère le faire devant les caméras de la télé ! Quel égarement !

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Pedro Almodovar – Aujourd’hui, on n’ose plus se confier ni à sa famille, ni à ses amis, ni à son compagnon, on préfère le faire devant les caméras de la télé ! Quel égarement ! Aujourd’hui, on n’ose plus se confier ni à sa famille, ni à ses amis, ni à son compagnon, on préfère … Lire la suite­­

Pedro Almodovar – Je suis mille fois plus pudique dans la vie que dans mes films, en revanche, je n’arriverai jamais à écrire une séquence autour du sadomasochisme.

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Pedro Almodovar – Je suis mille fois plus pudique dans la vie que dans mes films, en revanche, je n’arriverai jamais à écrire une séquence autour du sadomasochisme. Je suis mille fois plus pudique dans la vie que dans mes films, en revanche, je n’arriverai jamais à écrire une séquence autour du sadomasochisme.

Scientifiquement, le paradigme des Annales apportait à l’histoire une intelligibilité très supérieure : la volonté de synthèse, mettant en relation les différents facteurs d’une situation ou d’un problème, permettait de comprendre à la fois le tout et ses parties. C’était une histoire plus riche, plus vivante et plus intelligente.

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Scientifiquement, le paradigme des Annales apportait à l’histoire une intelligibilité très supérieure : la volonté de synthèse, mettant en relation les différents facteurs d’une situation ou d’un problème, permettait de comprendre à la fois le tout et ses parties. C’était une histoire plus riche, plus vivante et plus intelligente. Scientifiquement, le paradigme des Annales apportait … Lire la suite­­

Depuis plus de cent ans, les poètes sont descendus des sommets sur lesquels ils se croyaient. Ils sont allés dans les rues, ils ont insulté leurs maîtres, ils n’ont plus de dieux, ils osent embrasser la beauté et l’amour sur la bouche, ils ont appris les chants de révolte de la foule malheureuse et sans se rebuter, essaient de lui apprendre les leurs. Peu leur importent les sarcasmes et les rires, ils y sont habitués, mais ils ont maintenant l’assurance de parler pour tous.

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Depuis plus de cent ans, les poètes sont descendus des sommets sur lesquels ils se croyaient. Ils sont allés dans les rues, ils ont insulté leurs maîtres, ils n’ont plus de dieux, ils osent embrasser la beauté et l’amour sur la bouche, ils ont appris les chants de révolte de la foule malheureuse et sans … Lire la suite­­