Je n’y pensais jamais, non seulement parce que je refusais d’y penser, mais parce que cela ne me venait pas à l’esprit : notre vie à deux n’avait pas de futur. Je n’y pensais jamais, non seulement parce que je refusais d’y penser, mais parce que cela ne me venait pas à l’esprit : notre … Lire la suite
Archives mensuelles : avril 2017
Rien n’est moins que le moment présent, si vous entendez par là cette limite indivisible qui sépare le passé de l’avenir.
Rien n’est moins que le moment présent, si vous entendez par là cette limite indivisible qui sépare le passé de l’avenir. Rien n’est moins que le moment présent, si vous entendez par là cette limite indivisible qui sépare le passé de l’avenir. Henri Bergson Le Dico des citations Les nouvelles citations
C’est l’histoire d’une société qui tombe et qui au fur et à mesure de sa chute se répète sans cesse pour se rassurer : jusqu’ici tout va bien, jusqu’ici tout va bien, jusqu’ici tout va bien. .. Le problème ce n’est pas la chute, c’est l’atterrissage.
C’est l’histoire d’une société qui tombe et qui au fur et à mesure de sa chute se répète sans cesse pour se rassurer : jusqu’ici tout va bien, jusqu’ici tout va bien, jusqu’ici tout va bien. .. Le problème ce n’est pas la chute, c’est l’atterrissage. C’est l’histoire d’une société qui tombe et qui au … Lire la suite
Ce besoin de trouver une raison d’être à la fabulation trahit quelque malaise de notre part devant l’erreur et est le revers de notre propre mytheologie de la vérité et de la science.
Ce besoin de trouver une raison d’être à la fabulation trahit quelque malaise de notre part devant l’erreur et est le revers de notre propre mytheologie de la vérité et de la science. Ce besoin de trouver une raison d’être à la fabulation trahit quelque malaise de notre part devant l’erreur et est le revers … Lire la suite
Le problème,lorsqu’on se venge par jalousie,c’est que même si l’on inflige de la douleur aux autres,cela n’atténue en rien celle que l’on ressent soi-même.Au bout du compte, tout le monde est malheureux
Le problème,lorsqu’on se venge par jalousie,c’est que même si l’on inflige de la douleur aux autres,cela n’atténue en rien celle que l’on ressent soi-même.Au bout du compte, tout le monde est malheureux Le problème,lorsqu’on se venge par jalousie,c’est que même si l’on inflige de la douleur aux autres,cela n’atténue en rien celle que l’on ressent … Lire la suite
Sont des tests de personnalité. Ca m’a fait rire. Je lui ai dit comment pouvez-vous tirer ce que vous dites de cartes sur lesquelles quelqu’un a renversé de l’encre et de photos de gens que vous ne connaissez même pas.
Sont des tests de personnalité. Ca m’a fait rire. Je lui ai dit comment pouvez-vous tirer ce que vous dites de cartes sur lesquelles quelqu’un a renversé de l’encre et de photos de gens que vous ne connaissez même pas. Sont des tests de personnalité. Ca m’a fait rire. Je lui ai dit comment pouvez-vous … Lire la suite
S’il est incertain que la vérité que vous allez dire soit comprise, taisez-la.
S’il est incertain que la vérité que vous allez dire soit comprise, taisez-la. S’il est incertain que la vérité que vous allez dire soit comprise, taisez-la. Maurice Maeterlinck Le Dico des citations Les nouvelles citations
On dira que la révolution est finie, qu’on n’a plus rien à craindre du tyran, qu’une loi punit de mort l’usurpateur mais, citoyens, la tyrannie est un roseau que le vent fait plier et qui se relève. Qu’appelez-vous donc la révolution, la chute du trône, les coups portés à divers abus ? L’ordre moral est comme l’ordre physique : les abus disparaissent un moment, comme l’humidité de la terre s’évapore les abus renaissent bientôt, comme l’humidité retombe des nuages. La révolution commence quand le tyran finit.
On dira que la révolution est finie, qu’on n’a plus rien à craindre du tyran, qu’une loi punit de mort l’usurpateur mais, citoyens, la tyrannie est un roseau que le vent fait plier et qui se relève. Qu’appelez-vous donc la révolution, la chute du trône, les coups portés à divers abus ? L’ordre moral est … Lire la suite
Conrad Detrez
Conrad Detrez Vais-je me jeter dans la gueule du loup ? J’ai peur. Il y a onze ans que j’attends d’y retourner, dans ce Brésil qui m’inocula le goût dangereux, parfois mortel (je songe à des amis assassinés), de l’amour et de la politique. Onze ans à guetter le relâchement de la dictature, un signe … Lire la suite
Linda Howard
Linda Howard Je voulais simplement t’avertir que tes combines mesquines ne me gênent pas le moins du monde. S’il le faut, je me ferai expédier mes courses de Dallas, mais ne compte pas sur moi pour quitter Prescott !