Si l’on s’aperçoit que l’adversaire est supérieur et que l’on ne va pas gagner, il faut tenir des propos désobligeants, blessants et grossiers. Être désobligeant, cela consiste à quitter l’objet de la querelle (puisqu’on a perdu la partie) pour passer à l’adversaire, et à l’attaquer d’une manière ou d’une autre dans ce qu’il est : on pourrait appeler cela l’argumentum ad personam pour faire la différence avec l’argumentum ad hominem.

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Si l’on s’aperçoit que l’adversaire est supérieur et que l’on ne va pas gagner, il faut tenir des propos désobligeants, blessants et grossiers. Être désobligeant, cela consiste à quitter l’objet de la querelle (puisqu’on a perdu la partie) pour passer à l’adversaire, et à l’attaquer d’une manière ou d’une autre dans ce qu’il est : … Lire la suite­­

L’homme raisonnable s’adapte lui-même au monde l’homme déraisonnable continue à essayer d’adapter le monde à lui-même. Donc, tout progrès depend de l’homme déraisonnable.

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L’homme raisonnable s’adapte lui-même au monde l’homme déraisonnable continue à essayer d’adapter le monde à lui-même. Donc, tout progrès depend de l’homme déraisonnable. L’homme raisonnable s’adapte lui-même au monde l’homme déraisonnable continue à essayer d’adapter le monde à lui-même. Donc, tout progrès depend de l’homme déraisonnable. George Bernard Shaw Le Dico des citations Les nouvelles … Lire la suite­­

Il est rare qu’un criminel de ce genre se donne lui-même la mort. Un paradoxe moral veut que les remords ne soient jamais que le fardeau des innocents.

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Il est rare qu’un criminel de ce genre se donne lui-même la mort. Un paradoxe moral veut que les remords ne soient jamais que le fardeau des innocents. Il est rare qu’un criminel de ce genre se donne lui-même la mort. Un paradoxe moral veut que les remords ne soient jamais que le fardeau des … Lire la suite­­

Et pourtant, Kléber m’a dit, plus tard, ce que je devais croire : qu’on prend ce qui vient, au moment où ça vient, qu’on ne lutte ni contre la guerre, ni contre la vie, ni contre la mort, on fait semblant, que le seul maître du monde, c’est le temps.

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Et pourtant, Kléber m’a dit, plus tard, ce que je devais croire : qu’on prend ce qui vient, au moment où ça vient, qu’on ne lutte ni contre la guerre, ni contre la vie, ni contre la mort, on fait semblant, que le seul maître du monde, c’est le temps. Et pourtant, Kléber m’a dit, … Lire la suite­­