Adieu, monde de la Cour adieu, juges de la liberté humaine. Heureux celui qui vit et meurt chez lui, car les pauvres eux-mêmes sont rois chez eux.
Adieu, monde de la Cour adieu, juges de la liberté humaine. Heureux celui qui vit et meurt chez lui, car les pauvres eux-mêmes sont rois chez eux. Lope de Vega