Elle a les yeux couleur de ma vague chimère, Ô toute poésie, ô toute extase, ô Mère ! À l’autel de ses pieds je l’honore en pleurant, Je suis toujours petit pour elle, quoique grand.
Elle a les yeux couleur de ma vague chimère, Ô toute poésie, ô toute extase, ô Mère ! À l’autel de ses pieds je l’honore en pleurant, Je suis toujours petit pour elle, quoique grand. Émile Nelligan