– Et je les aime tant. Je crois que je les aime tellement que j’ai pensé à tout ce qui pouvait leur arriver dans cette maison et ce jardin et je n’en dors plus. Vous ne pouvez pas imaginer quelle quantité d’accidents ça fait.
– Et je les aime tant. Je crois que je les aime tellement que j’ai pensé à tout ce qui pouvait leur arriver dans cette maison et ce jardin et je n’en dors plus. Vous ne pouvez pas imaginer quelle quantité d’accidents ça fait. Boris Vian