Je t’aime, à avoir mon coeur qui se gonfle quand je te vois, à avoir cette rougeur qui me brûle le visage, à avoir un sourire permanent dans le creux de mon ventre. Je t’aime, à ne plus vouloir te quitter, même lorsque c’est pour m’endormir quelques heures contre ton corps. Je t’aime, à avoir peur que cet été finisse trop vite. Je t’aime à m’imaginer vivre ici, là-bas, qu’importe, pourvu que ce soit avec toi.

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Je t’aime, à avoir mon coeur qui se gonfle quand je te vois, à avoir cette rougeur qui me brûle le visage, à avoir un sourire permanent dans le creux de mon ventre. Je t’aime, à ne plus vouloir te quitter, même lorsque c’est pour m’endormir quelques heures contre ton corps. Je t’aime, à avoir peur que cet été finisse trop vite. Je t’aime à m’imaginer vivre ici, là-bas, qu’importe, pourvu que ce soit avec toi.

Je t’aime, à avoir mon coeur qui se gonfle quand je te vois, à avoir cette rougeur qui me brûle le visage, à avoir un sourire permanent dans le creux de mon ventre. Je t’aime, à ne plus vouloir te quitter, même lorsque c’est pour m’endormir quelques heures contre ton corps. Je t’aime, à avoir peur que cet été finisse trop vite. Je t’aime à m’imaginer vivre ici, là-bas, qu’importe, pourvu que ce soit avec toi. Dominique Dyens

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