J’inverserais volontiers le pari de Pascal. Vivre comme s’il n’y avait rien après, mais laissant grande ouverte la possibilité qu’il y ait « quelque chose ».
J’inverserais volontiers le pari de Pascal. Vivre comme s’il n’y avait rien après, mais laissant grande ouverte la possibilité qu’il y ait « quelque chose ». Hubert Reeves