L’auteur admet volontiers, cependant, qu’il ne soigne pas la fin de ses récits comme il en soigne les débuts, considérant que toute fin – et la fin de la vie donc- est une débâcle à laquelle on ne peut qu’assister impuissant, désespéré, sans réaction.
L’auteur admet volontiers, cependant, qu’il ne soigne pas la fin de ses récits comme il en soigne les débuts, considérant que toute fin – et la fin de la vie donc- est une débâcle à laquelle on ne peut qu’assister impuissant, désespéré, sans réaction. Éric Chevillard