Le déménageur au blouson le fixe toujours et c’est comme s’il lui disait : mon pauvre gars, tu es habitué aux maisons, aux bureaux, au métro et aux parapluies, tu ne sais donc pas que la pluie mouille ceux qui n’ont plus rien ?

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Le déménageur au blouson le fixe toujours et c’est comme s’il lui disait : mon pauvre gars, tu es habitué aux maisons, aux bureaux, au métro et aux parapluies, tu ne sais donc pas que la pluie mouille ceux qui n’ont plus rien ?

Le déménageur au blouson le fixe toujours et c’est comme s’il lui disait : mon pauvre gars, tu es habitué aux maisons, aux bureaux, au métro et aux parapluies, tu ne sais donc pas que la pluie mouille ceux qui n’ont plus rien ? Thomas B. Reverdy

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