Le sage ne se laisse pas abuser par l’illusion du savoir. Il éloigne les certitudes pour accepter cette part d’ignorance d’où émergent le mystère et l’étonnement. Le vrai savoir n’est que la somme de ses doutes.
Le sage ne se laisse pas abuser par l’illusion du savoir. Il éloigne les certitudes pour accepter cette part d’ignorance d’où émergent le mystère et l’étonnement. Le vrai savoir n’est que la somme de ses doutes. Gilles La Carbona