On a beau faire, s’apitoyer, compatir, essayer de comprendre, on ne peut jamais vraiment ressentir la douleur qu’éprouve l’autre, ni dans sa tête ni dans son corps… Et sans doute que c’est mieux ainsi.
On a beau faire, s’apitoyer, compatir, essayer de comprendre, on ne peut jamais vraiment ressentir la douleur qu’éprouve l’autre, ni dans sa tête ni dans son corps… Et sans doute que c’est mieux ainsi. Claudie Gallay