Pascal Morin
C’est étrange, se disait-il, que l’on aime les gens, qu’ils disparaissent, et que l’on continue à les aimer, mais dans sa tête, pour soi, sans le leur dire. Comme si le fait de ne plus être en contact n’enlevait rien à leur présence.
Pascal Morin
C’est étrange, se disait-il, que l’on aime les gens, qu’ils disparaissent, et que l’on continue à les aimer, mais dans sa tête, pour soi, sans le leur dire. Comme si le fait de ne plus être en contact n’enlevait rien à leur présence.