Tu me demandes si je prends goût à la pratique médicale. Oui et non. J’ai beaucoup de plaisir à soigner ceux qui viennent me demander conseil, mais je ne voudrais pas faire de la médecine un métier, c’est-à-dire que je ne pourrais jamais demander à un malade de me payer pour des soins que j’aurais pu lui donner. Je considère la médecine comme un sacerdoce, ainsi que le pastorat. Demander de l’argent pour soigner un malade, c’est un peu lui dire la bourse ou la vie.

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Tu me demandes si je prends goût à la pratique médicale. Oui et non. J’ai beaucoup de plaisir à soigner ceux qui viennent me demander conseil, mais je ne voudrais pas faire de la médecine un métier, c’est-à-dire que je ne pourrais jamais demander à un malade de me payer pour des soins que j’aurais pu lui donner. Je considère la médecine comme un sacerdoce, ainsi que le pastorat. Demander de l’argent pour soigner un malade, c’est un peu lui dire la bourse ou la vie.

Tu me demandes si je prends goût à la pratique médicale. Oui et non. J’ai beaucoup de plaisir à soigner ceux qui viennent me demander conseil, mais je ne voudrais pas faire de la médecine un métier, c’est-à-dire que je ne pourrais jamais demander à un malade de me payer pour des soins que j’aurais pu lui donner. Je considère la médecine comme un sacerdoce, ainsi que le pastorat. Demander de l’argent pour soigner un malade, c’est un peu lui dire la bourse ou la vie. Alexandre Yersin

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