Vincent Ravalec
Un jour, j’ai réalisé que le temps passait. C’était venu insidieusement, une chose idiote, auquel on ne devrait pas songer, et qui pourtant était la suite logique du début, puisque c’était le début de la fin.
Vincent Ravalec
Un jour, j’ai réalisé que le temps passait. C’était venu insidieusement, une chose idiote, auquel on ne devrait pas songer, et qui pourtant était la suite logique du début, puisque c’était le début de la fin.