Au fond, à bien y réfléchir, mieux vaut un grand malheur qu’un petit, car le petit passe inaperçu tandis que le grand est profitable par l’évocation qu’il comporte, d’un plus grand, d’un bien pis encore, qui eut pu sévir à sa place.
Au fond, à bien y réfléchir, mieux vaut un grand malheur qu’un petit, car le petit passe inaperçu tandis que le grand est profitable par l’évocation qu’il comporte, d’un plus grand, d’un bien pis encore, qui eut pu sévir à sa place. Georges Courteline