En général, ceci est un peu l’histoire des femmes. Elles en sont toutes là. Elles repoussent les choses, mais habillez les choses de mots, elles les acceptent. Choisissez bien le mot pourtant. Elles s’indignent du mot cru, elles s’effarouchent du mot propre, elles tolèrent le mot détourné, elles accueillent le mot élégant, elles sourient à la périphrase. Elles ne savent que plus tard, — trop tard souvent, — combien il y a de réalité dans l’à peu près. La plupart des femmes glissent et beaucoup tombent sur la pente dangereuse des traductions adoucies.

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En général, ceci est un peu l’histoire des femmes. Elles en sont toutes là. Elles repoussent les choses, mais habillez les choses de mots, elles les acceptent. Choisissez bien le mot pourtant. Elles s’indignent du mot cru, elles s’effarouchent du mot propre, elles tolèrent le mot détourné, elles accueillent le mot élégant, elles sourient à la périphrase. Elles ne savent que plus tard, — trop tard souvent, — combien il y a de réalité dans l’à peu près. La plupart des femmes glissent et beaucoup tombent sur la pente dangereuse des traductions adoucies.

En général, ceci est un peu l’histoire des femmes. Elles en sont toutes là. Elles repoussent les choses, mais habillez les choses de mots, elles les acceptent. Choisissez bien le mot pourtant. Elles s’indignent du mot cru, elles s’effarouchent du mot propre, elles tolèrent le mot détourné, elles accueillent le mot élégant, elles sourient à la périphrase. Elles ne savent que plus tard, — trop tard souvent, — combien il y a de réalité dans l’à peu près. La plupart des femmes glissent et beaucoup tombent sur la pente dangereuse des traductions adoucies. Victor Hugo

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