J’avais une nouvelle fois changé de prénom, je n’étais plus Martin ou Miétek mais Micha : peu importait, je restais moi, seulement moi, avec tout ce que j’avais vécu, que personne n’arracherait jamais de ma tête, avec ma volonté d’aller jusqu’au bout.
J’avais une nouvelle fois changé de prénom, je n’étais plus Martin ou Miétek mais Micha : peu importait, je restais moi, seulement moi, avec tout ce que j’avais vécu, que personne n’arracherait jamais de ma tête, avec ma volonté d’aller jusqu’au bout. Martin Gray