Jean-Michel Basquiat – Je commence un tableau et je l’achève. Je ne pense pas à l’art pendant que je travaille, j’essaie de penser à la vie.
Je commence un tableau et je l’achève. Je ne pense pas à l’art pendant que je travaille, j’essaie de penser à la vie.
Autres aphorismes :
Une carrière est faite de désirs, de rêves, de… Une carrière est faite de désirs, de rêves, de chances. C’est paradoxal, frustrant. J’ai commencé par le théâtre sans penser au cinéma. J’ai beaucoup travaillé, souvent avec passion, même si je me reproche ceux de mes films que j’appelle “avoine-foin”. Les chevaux, ça vous ruine un homme ! Comme j’ai souvent tourné mes films “avoine-foin” en Italie, c’est heureusement passé…
Je suis très paresseux, et comme tous les paresseux,… Je suis très paresseux, et comme tous les paresseux, je travaille énormément parce que je ne sais pas m’organiser. Je travaille un peu tout le temps, de façon jamais très organisée, j’essaie de temps en temps, puis j’oublie et j’abandonne. Je suis très paresseux, et comme tous les paresseux, je travaille énormément parce que je ne sais pas m’organiser. Je…
Construire son double à l’écran demande beaucoup de… Construire son double à l’écran demande beaucoup de subtilité. Personnellement, j’essaie d’aller vers quelque chose de corporel, parce qu’en France, cet aspect est moins travaillé. Construire son double à l’écran demande beaucoup de subtilité. Personnellement, j’essaie d’aller vers quelque chose de corporel, parce qu’en France, cet aspect est moins travaillé. Adèle Exarchopoulos Le Dico des citations Les nouvelles citations
Ce n’est pas le malheur qui nous ronge, mais le… Ce n’est pas le malheur qui nous ronge, mais le bonheur, qui ne cesse pas de ne jamais arriver. On a peur que le bonheur s’achève alors qu’il n’a pas commencé. Ce n’est pas le malheur qui nous ronge, mais le bonheur, qui ne cesse pas de ne jamais arriver. On a peur que le bonheur s’achève alors qu’il n’a…
Charles et Marie est un gracieux et touchant petit… Charles et Marie est un gracieux et touchant petit roman anglais, un peu dans le goût de Miss Burney. Le paysage de parcs et d’élégants cottages, les mœurs, les ridicules des ladies chasseresses ou savantes, la sentimentalité languissante et pure des amants, y composent un tableau achevé qui marque combien ce séjour en Angleterre a inspiré naïvement l’auteur. [Mars 1834]…