Particulièrement doué pour la digression, Araquistain ne se contentait pas de la cultiver : ses films étaient une digression à l’état pur, des variations autour d’une idée-prétexte qui était en définitive la seule chose qu’il n’avait pas osé modifier, mais dont on sentait qu’il en grillait d’envie.
Particulièrement doué pour la digression, Araquistain ne se contentait pas de la cultiver : ses films étaient une digression à l’état pur, des variations autour d’une idée-prétexte qui était en définitive la seule chose qu’il n’avait pas osé modifier, mais dont on sentait qu’il en grillait d’envie. Manuel Vázquez Montalbán