Plaidoyer pour une une nuit. Un mot par-ci, un mot par-là et une phrase qui se décroche de la pensée en pleine nuit. Puis soudain, la peur de l’oublier le lendemain s’installe. Alors je la reformule, ensuite, je l’écris. Mais en définitif que vaut cette sève de la plume cérébrale qui meurt au bout de mes doigts ? Je n’en sais pas grand-chose car, j’en demeure l’émetteur et ignore savamment le récepteur ! Ceci dit, les nuits sont faites je suppose : pour se reposer, se ressourcer par l’endormissement profond. Par conséquent, les miennes de nuits dictent un concept différent. Pourtant, j’aimerais simplement jouir d’un instant sans tempêtes d’idées, ni irradiation de verbes ; juste…. l’espace d’une nuit !.
Plaidoyer pour une une nuit. Un mot par-ci, un mot par-là et une phrase qui se décroche de la pensée en pleine nuit. Puis soudain, la peur de l’oublier le lendemain s’installe. Alors je la reformule, ensuite, je l’écris. Mais en définitif que vaut cette sève de la plume cérébrale qui meurt au bout de mes doigts ? Je n’en sais pas grand-chose car, j’en demeure l’émetteur et ignore savamment le récepteur ! Ceci dit, les nuits sont faites je suppose : pour se reposer, se ressourcer par l’endormissement profond. Par conséquent, les miennes de nuits dictent un concept différent. Pourtant, j’aimerais simplement jouir d’un instant sans tempêtes d’idées, ni irradiation de verbes ; juste…. l’espace d’une nuit !. Jah Olela Wembo